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Van Dongen,le mondain ...
C'était un fils de bonne famille que ce Cornélis van Dongen(1877 -1968),né en Hollande , à Rotterdam.
Touche à tout , mais doué pour le dessin.
Très vite parisien , il rencontre tous les grands noms artistiques de l'époque ,Matisse et Picasso notamment.
Signac et son divisionnisme le séduit , mais Van Gogh et ses palettes de couleurs l'impressionnent.
Puis notre Hollandais voyage . L'Italie , l'Espagne , le Maroc l'attendent . Il y découvre l'intensité et la chaleur de la lumière . Il est fasciné par les couleurs vives et chaudes .En particulier le rouge.
Revenu à Paris , il goûte à la vie mondaine . C'est même devenu un excentrique !
1929 , naturalisé français ,il peint alors de nombreuses personnalités en vue de l' époque.
Après la guerre mondiale il sera écarté de la vie artistique française : ne lui est pas pardonné son voyage , en 1940, en Allemagne nazie.
Pourtant , en 1959, sa participation à la grande expo sur le fauvisme français le réhabilitera un peu auprès du public .
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Par gil22 le 8 Décembre 2021 à 04:54
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1905 : le peintre a pris ses distances avec l'impressionnisme de ses débuts...
Avec le fauvisme et ses excès , Van Dongen parvient ainsi à exprimer tout le "feu" qu'il porte en lui !
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1905
la femme au collant vert
Van Dongen était le peintre de la femme dont il disait:
"C'est le feu de la vie , c'est l'oubli dans la volupté..."
Rien que ça ?
1905
la gitane apprivoisée
1905
la maison à Fleury
Cette année là ,V Dongen , accompagné de sa femme et de sa fille Dolly qui venait de naître,passa l'été à Fleury
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"J'ai voulu , en larges touches chaudes , montrer que je pouvais peindre à la manière de Seurat et d'y ajouter même du lyrisme!"
1905
la matchiche au moulin de la galette
La touche est décomposée dans une sorte de fureur qui sied bien à une danse toute en énergie...
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Par gil22 le 22 Septembre 2018 à 05:10
1900 . promenade dans les bois.
1900 ; le kiosque à musique
En ces années 1900 Van Dongen collaborait au journal "l'assiette au beurre" où il dénonçait les injustices sociales.
1902 : la femme saoule.
5 commentaires
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